La ville de Puno est situé à une altitude de 3800 mètres. La ville en elle-même n’a rien d’extraordinaire sauf qu’elle située sur les rives du célèbre lac Titicaca.
On peut aussi y visiter plusieurs îles mais la principale attraction demeure les îles flottantes Los Uros, ce peuple d’indiens ayant fui les incas. Après une courte balade en bateau,
nous pouvons apercevoir le « village ».
On peut aussi y visiter plusieurs îles mais la principale attraction demeure les îles flottantes Los Uros, ce peuple d’indiens ayant fui les incas. Après une courte balade en bateau,
nous pouvons apercevoir le « village ».
Une drôle de sculpture nous accueille à l’entrée.
Ici, le produit de base est le totora, une sorte de roseau et cela inclut les bateaux à un
ou deux étages. Le village est composé de plusieurs îles,
indépendantes les unes des autres. Chaque île accueille plusieurs familles.
Ici, le produit de base est le totora, une sorte de roseau et cela inclut les bateaux à un
ou deux étages. Le village est composé de plusieurs îles,
indépendantes les unes des autres. Chaque île accueille plusieurs familles.
Inutile de dire que le tourisme est leur principale source de revenu, loin devant la pêche. On a donc droit à un accueil chaleureux, en foulant un sol plutôt spongieux, par le « président », rien de moins, d’une des îles. Celui-ci nous explique la conception de ces îles spéciales
et nous indique, preuve à l’appui, que nous sommes sur 12 mètres d’eau.
On nous explique également le système de retenu, pour éviter que l’île ne parte à la dérive.
Après un passage au mirador,
et nous indique, preuve à l’appui, que nous sommes sur 12 mètres d’eau.
On nous explique également le système de retenu, pour éviter que l’île ne parte à la dérive.
Après un passage au mirador,
histoire d’avoir une vue panoramique du complexe, on vous propose la traversée sur une autre île sur un de leurs bateaux. La tâche est vraiment ardue mais, avec un peu d’aide,on y arrive. Et le départ se fait en chantant
et cela dans toutes les langues. (On a eu droit à Alouette) Marketing oblige. Cependant, face à ce peuple plutôt retiré, on a l’impression de profiter de la situation pour faire du voyeurisme tout en se sentant obligé d’acheter quelque chose pour s’excuser.
où l’on pouvait admirer un joli phare.