Un premier réveil dans cette ville où Eva travaille depuis trois mois. Notre petit hôtel possède un certain charme
même si Quillabamba est loin d’être un centre touristique. Je dirais même que notre présence ici a presque autant d’impact qu’une visite d’extra terrestre.
Quillabamba, « La ciudad del eterno verano » est située dans une cuvette, donc entourée de tous côtés par les montagnes. L’élévation n’étant que de mille mètres, il y fait une chaleur presque tropicale. Il a donc fallu se mettre à la recherche de sandales, ayant oublié les miennes à Lima. Pourquoi ne pas commencer par le marché central
où l’ on y retrouve à peu près tout.
Situé en face de la place Grau, là où l’administration municipale a réalisé un aménagement agréable,
artistique
et parfois discutable
avec l’omniprésence.des montagnes en fond de toile.
A noter aussi, l’utilisation de ces véhicules taxi,
clone des tuk-tuk thaïlandais.
Situé en face de la place Grau, là où l’administration municipale a réalisé un aménagement agréable,
artistique
et parfois discutable
avec l’omniprésence.des montagnes en fond de toile.
A noter aussi, l’utilisation de ces véhicules taxi,
clone des tuk-tuk thaïlandais.
Nous avons eu droit à deux sessions de massage à l’association de la divine providence. Avouez que le nom est plutôt révélateur.
Il parait même que d’autres sessions seraient nécessaires. Stressés, ces étrangers québécois…
Il parait même que d’autres sessions seraient nécessaires. Stressés, ces étrangers québécois…
Il y eu aussi le côté social de la visite à Quillabamba. Un souper avec la famille d’accueil de Eva où nous avons déguster le mets par excellence des grandes occasions péruviennes, le cochon d’inde.
Surprenant et surtout délicieux. Il y eut aussi un déjeuner avec le groupe de travail de Eva.
Beaucoup de plaisir et une distribution de souvenirs québécois pour chacun des membres du groupe.
A noter, à la droite, sur cette dernière photo, Claudie, .une autre stagiaire québécoise qui, je me permets de le mentionner, formait avec Eva un duo très soudé.
Surprenant et surtout délicieux. Il y eut aussi un déjeuner avec le groupe de travail de Eva.
Beaucoup de plaisir et une distribution de souvenirs québécois pour chacun des membres du groupe.
A noter, à la droite, sur cette dernière photo, Claudie, .une autre stagiaire québécoise qui, je me permets de le mentionner, formait avec Eva un duo très soudé.
Nous avons aussi réalisé une petite escapade dans les environs, plus particulièrement aux cascades de Yanay.
Il a fallu pour s’y rendre utiliser un chemin pas toujours carrossable
mais dans un environnement magnifique.
Après une marche d’ environ trente minutes dans un sentier pas toujours facile
mais immensément fleuri,
incluant une plantation de café,nous arrivons à la cascade.
Elle n’avait rien de sensationnelle mais nous a permis d’admirer une flore où bananier,
quatre-heures, impatientes
poussaient à l’état sauvage. Un beau moment.
Il a fallu pour s’y rendre utiliser un chemin pas toujours carrossable
mais dans un environnement magnifique.
Après une marche d’ environ trente minutes dans un sentier pas toujours facile
mais immensément fleuri,
incluant une plantation de café,nous arrivons à la cascade.
Elle n’avait rien de sensationnelle mais nous a permis d’admirer une flore où bananier,
quatre-heures, impatientes
poussaient à l’état sauvage. Un beau moment.
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