Après une randonnée de six heures à travers l’altiplano, passant de 4000 à 2000 mètres, en compagnie des troupeaux d’alpagas,
des flamands roses
et de la population locale,
nous arrivons à Arequipa, « el ciudad blanca ».
On nous avait dit que ce serait notre coup de cœur. Effectivement…
Arequipa, la plus grande ville du sud du Pérou, est située au pied de trois volcans. Misti, à 5823 mètres,
Chachani à 6075 mètres
et Pichupichu à 5600 mètres. Cela donne à la ville, située elle-même à 2000 mètres, un environnement spectaculaire. Le Rio Chili qui traverse la ville,
Chachani à 6075 mètres
et Pichupichu à 5600 mètres. Cela donne à la ville, située elle-même à 2000 mètres, un environnement spectaculaire. Le Rio Chili qui traverse la ville,
complète admirablement ce décor de carte postale.
Le centre-ville se concentre, tradition oblige, autour de la Plaza de Armas, très achalandée de jour comme de nuit. Les arches bordant trois des côtés de la Plaza ont leur nom propre : de Flores,
de San Augustin
et Municipalidad. Le tout est complété par la basilique,
déclarée Cathédrale par Pie XII lui-même dans les années 1940. (pour ceux qui pourraient s’en souvenir) À mon humble avis, l’édifice est encore plus spectaculaire la nuit.
de San Augustin
et Municipalidad. Le tout est complété par la basilique,
déclarée Cathédrale par Pie XII lui-même dans les années 1940. (pour ceux qui pourraient s’en souvenir) À mon humble avis, l’édifice est encore plus spectaculaire la nuit.
Tout cet ensemble est complété par des commerces de toutes sortes. Nous avons même trouvé un resto français, le Mono Blanco, ayant une note québécoise.
L’architecture, visible dans ces magnifiques cours intérieures, à la décoration souvent originale, fait aussi référence à l’influence espagnole comme cette ruelle fleurie.
Les édifices marient l’ancien et le nouveau souvent dans un mix très agréable à l’œil.
L’architecture, visible dans ces magnifiques cours intérieures, à la décoration souvent originale, fait aussi référence à l’influence espagnole comme cette ruelle fleurie.
Les édifices marient l’ancien et le nouveau souvent dans un mix très agréable à l’œil.
Un peu à l'extérieur de la ville, on retrouve la maison du fondateur de Arequipa. Celle-ci est composée de trois parties de différentes couleurs, bleu, rouge et jaune, représentant chacune une portion de l'histoire de la ville.
Tout près, un moulin en pierre volcanique blanche, toujours en fonction,
et dont la particularité réside dans son mouvement horizontal plutôt que vertical comme la majorité des moulins à eau. Le tout dans un décor de carte postale.
À noter aussi, ces "chumpas"
servant à la fabrication de la boisson la plus célèbre du Pérou, la "chicha morada".
Pour terminer, un coup d’œil au couvent
et à l’église de San Francisco
datant de 1804. Et l’on vous laisse sur le tarmac de l’aéroport,
pour un départ en direction de Lima et possiblement un safari photo de la Cordillères des Andes
2 commentaires:
je me demande bien d'ou vient ces bizarres de chapeaux que les femmes portent...
Ça nous fait un voyage pas fatiguant ni cher..Merci..Dans le blog,il y a une photo de Chris. dans un décor de ville et vous parlez de vieilles affaires ou plutôt ancien et neuf dans le prochain tableau,...Christ. ni ait pour rien la dedans autre que pour enjoliver le décor.....Un jour à la retraite j'irai dans ce coin du monde..
Enregistrer un commentaire